5 raisons de quitter le salariat

Disclaimer : si vous aimez le salariat, ne lisez PAS cet article (sinon, vous allez bientôt le détester à votre tour !).

En revanche, si vous en avez marre de votre boulot, si vous n’avez plus envie d’aller bosser, et que vous rêver de tuer votre patron, cet article est fait pour vous.

Je vais vous révéler pourquoi le salariat est le pire mode de travail de tous les temps…

Et pourquoi vous devez absolument quitter votre CDI pour être enfin épanoui professionnellement.

À la fin de l’article, je vous proposerai 2 solutions concrètes pour vous libérer définitivement du salariat

1ère raison de quitter le salariat : vous gaspillez votre temps

Le salariat, ça revient à échanger votre temps contre de l’argent.

En théorie, ça parait être une bonne idée : vous aidez votre patron à développer son entreprise, et lui vous paye en retour.

Mais en pratique, le salarié est toujours perdant !

Vous en doutez ? Voici un petit calcul pour vous le prouver :

Une journée dure 24h.

Sur ces 24h, nous dormons 8h, ce qui nous laisse environ 16h de vie.

Sur ces 16h, nous offrons à peu près 10h à un patron :

  • 7h de travail (c’est le forfait horaire standard en France)
  • 1h de pause le midi (ça aussi, c’est aussi du temps loin de chez vous)
  • 2h de transports (embouteillages, long trajet en RER matin et soir)

Donc si vous me suivez toujours, il vous reste 6h pour vivre pleinement.

C’est-à-dire profiter de vos proches, de vos passions et de votre couple.

Et je vais être honnête, si vous aviez réellement 6h pour profiter, je ne serais pas aussi sévère avec le salariat…

Mais sur ces 6h, vous ne faites pas que profiter !

Vous devez aussi vous occuper :

  • De tout ce qui est administratif (déposer un colis à La Poste, appeler votre mutuelle, remplir votre déclaration d’impôts…)
  • Des tâches ménagères (lessive, aspirateur, lave-vaisselle, poussière, serpillière…)
  • Des repas (eh oui, vous ne pouvez pas commander sushi tous les soirs !)

En réalité, sur ces 6h, vous ne profitez que de la moitié du temps.

3 malheureuses petites heures pour vous… Soit 12,5% de votre journée !

Et quand il est enfin l’heure de prendre du temps pour vous ?

Vous êtes bien trop fatigué pour en profiter !

Après une longue journée de travail, vous n’avez qu’une envie : vous allonger sur le canapé, regarder « l’amour est dans le pré » et ne plus penser à rien.

quitter le salariat

Vous l’avez compris, en plus d’avoir très peu de temps pour vous, ce temps n’est pas de qualité.

Comme beaucoup, le salariat occupe la majorité de votre journée.

Et ça ? C’est 5 jours sur 7, 47 semaines sur 52 par an.

Il faut se rendre à l’évidence : la majeure partie de votre vie ne vous appartient pas.

  • Est-ce normal de passer plus de temps avec votre patron qu’avec vos enfants ?
  • Est-ce motivant de travailler pour la réussite professionnelle d’un autre ?
  • Votre temps ne vaut-il pas plus que 1600€ par mois ?

Je ne vous accuse pas, vous n’y êtes pour rien : c’est le système qui est fait ainsi.

Je pose ces questions pour provoquer chez vous une prise de conscience et vous démontrer à quel point c’est absurde.

Le salariat est une forme d’esclavagisme temporel.

Nous ne sommes plus libres de jouir du temps dont nous disposons dans cette vie.

Nous ne sommes plus maitres de notre emploi du temps.

Demain, après-demain, et dans 6 mois… Vous serez au même endroit, tous les jours : c’est-à-dire au boulot.

Et ça ? C’est ce qui vous attend jusqu’à votre retraite officielle de l’État, c’est-à-dire jusqu’à vos 64 ans, si vous avez de la chance.

N’oublions pas que même si l’espérance de vie est de 80 ans, l’espérance de vie en bonne santé est de 64 ans.

Ce qui fait que dès que vous retrouverez votre liberté, vous commencerez potentiellement à avoir des problèmes de santé lié à l’âge (espérons que non)…

Bref, le salariat prend une place disproportionnée dans vos vies…

Il vous fait passer à côté de ce qui compte vraiment : vous, vos proches, vos passions… !

Voici une première bonne raison de quitter le salariat.

Raison n°2 : vous ne serez jamais payé à votre juste valeur (c’est logique…)

Un salarié ne pourra JAMAIS être payé à sa juste valeur.

Pourquoi ? Parce que la juste valeur d’un employé est égale à ce qu’il produit pour l’entreprise.

Or, si vous produisez 100€ de chiffre d’affaires, l’entreprise qui vous emploie ne peut pas vous payer 100€.

Sans quoi elle ne ferait aucun bénéfice, et ne pourrait pas exister.

Une entreprise a donc des intérêts financiers opposés à ceux de ses salariés…

Son but est de vous faire travailler le plus longtemps possible, tout en vous payant le moins possible, pour maximiser sa rentabilité (ex : 35h par semaine pour 1231€).

Si je vous raconte ça, ce n’est pas pour cracher sur les patrons…

C’est pour vous rappeler que votre marge de progression en tant que salarié est limitée.

Si vous gagnez actuellement 1500€/mois, vous serez peut-être augmenté à 2000€ dans quelques années…

Mais à partir du moment où vous deviendrez trop cher pour l’entreprise…

Vous serez remplacé par un profil moins expérimenté et moins cher (c’est le jeu ma pauvre Lucette).

Dans ma branche, les entreprises embauchent des alternants en BAC+5 pour 900€ net.

Elles n’ont aucun intérêt à payer quelqu’un le triple du prix pour un travail d’une qualité à peine meilleure.

Cette recherche de rentabilité perpétuelle vous empêchera d’obtenir des salaires intéressants au cours de votre carrière…

Il est rare de voir un salarié payé plus de 3000€ par mois (même au sein de grosses entreprises) :

salaire bas
La majorité des ménages gagnent entre 1000 et 2000 euros…

Le salariat créé un plafond de verre financier difficile à percer.

À l’inverse, un entrepreneur peut atteindre les 10 000€ par mois, car il est le seul maitre à bord : sa seule limite, c’est le fruit de son travail !

Le salariat créé un également un autre paradoxe financier :

La plupart des nouveaux diplômés à la recherche d’un emploi vont dans les grandes villes…

Logique : c’est là où il y a le plus d’offres et où les entreprises payent le mieux !

Le problème ? C’est que les grandes villes sont hors de prix !

Prenons Paris par exemple…

Il est vrai que les Parisiens profitent d’un meilleur salaire qu’en province…

Mais la vie y est infiniment plus chère : loyer (800€ pour un 23m²), assurances, nourriture, loisirs (et même la bière à 8€ la pinte) !

Résultat ? Ils ne profitent pas de ce salaire supérieur à la moyenne…

Les étudiants font donc des études en espérant se faire embaucher par des entreprises qui les condamnent à vivre dans des villes hors de prix.

Et face à ce phénomène, soit ils payent le prix fort et galèrent financièrement, soit ils vivent en périphérie et perdent chaque jour plusieurs heures de transport…

Ils doivent choisir s’ils renoncent à l’argent ou à la qualité de vie ! Dans les deux cas, ils sont perdants.

La plupart se font piéger dans un mode de vie où ils deviennent géographiquement dépendant.

Pendant que les salariés s’agglutinent à Paris et payent leur studio 200 000€…

Certains entrepreneurs libres s’installent à la campagne et se payent une maison de 200m² (ainsi qu’un terrain de 3 hectares) pour le même prix !

Vivre en ville, travailler pour un patron, ça parait être un mode de vie universel.

Mais ce n’est pas le cas : c’est avant tout un choix.

On peut choisir de quitter le salariat et s’installer dans un endroit où la vie n’est pas chère et y vivre comme un roi (bien mieux que certains cadres Parisiens)…

Les bienfaits vont bien au-delà de l’argent…

Ceux qui vivent loin des grosses agglomérations sont généralement moins stressés et plus heureux.

Même s’ils gagnent moins, ils ont une qualité de vie exceptionnelle.

Mettez donc votre situation actuelle en perspective et posez-vous la question : vaut-il mieux gagner 1201€ par mois dans la Nièvre ou 2500€ à Paris ?

Raison n°3 : La fameuse « sécurité » du salariat est une arnaque

Depuis toujours, on nous répète que CDI est égal à sécurité.

Sur le papier, les avantages sont nombreux : assurance maladie, allocation chômage, congés payés, retraite !

Mais je vais vous prouver que cette « sécurité » n’est pas aussi fiable que vous ne le pensez.

Déjà, observons la pandémie mondiale que nous sommes en train de vivre.

Elle nous prouve qu’aucune entreprise n’est indestructible, et qu’elles peuvent elles-aussi couler !

Le journal Les Echos parle de 628 000 chômeurs en plus à cause du Covid-19 !

Pourtant ? De nombreux salariés jugent encore l’entrepreneuriat plus risqué que le salariat.

Dans les deux cas, il s’agit d’une entreprise, et vous n’êtes pas à l’abri d’une faillite (mon ancien patron a fait faillite 2 ans après mon départ…).

L’avantage principal du salariat, c’est l’État qui vient à votre rescousse.

Enfin, c’est ce qu’il essaie de vous faire croire.

Car ce qu’on oublie trop souvent, c’est que ce sont nos impôts qui financent ces aides (oui, oui, les vôtres !).

Bien souvent, on ne le réalise pas, car ces impôts sont prélevés à la source.

Par exemple, si vous gagnez 2300€ brut, vous êtes payé 1800€ net.

L’écart entre un salaire brut et un salaire net est d’à peu près 25% !

Dans notre exemple, c’est 500€ qui sont reversés à l’État chaque mois.

Vous cotisez donc 6000€ par an, rien qu’avec les cotisations sociales (et 60 000€ en 10 ans !).

Suite à ça s’ajoute l’impôt sur le revenu, les taxes locales, la TVA, etc (je vous épargne le calcul).

La France est le pays le plus taxé au monde.

France pays le plus taxé au monde

Vous voyez où je veux en venir ?

Cette sécurité, vous pourriez vous la créer seul.

En tant qu’entrepreneur, j’ai pris l’habitude de mettre 500€ de côté chaque mois (pour me protéger en cas de maladie, chômage…).

L’État n’est utile que pour ceux qui ont besoin d’être biberonnés (c’est-à-dire tous ceux qui ne savent pas gérer leur argent, et il y en a beaucoup !).

Pour tous les autres ? C’est désavantageux sur le moyen-terme (même si ça peut dépanner de temps en temps, ne crachons pas dans la soupe).

L’État prend votre argent et vous le redistribue : ce n’est pas de l’argent magique, c’est le vôtre !

Et vu que vous cotisez toute votre vie, il est peu probable que l’État vous reverse plus que ce que vous avez cotisé…

L’État est donc le grand gagnant et peut légalement s’enrichir sur votre dos en prétextant la sécurité (malynx le lynx).

Quitter le salariat n’est donc pas si risqué que cela en a l’air.

Maintenant, intéressons-nous à la fameuse « sécurité de l’emploi ».

Pensez-vous être protégé des licenciements abusifs avec votre contrat de travail ?

Croyez-le ou non, mais briser un CDI légalement est extrêmement simple.

Allez voir chez McDonald’s s’ils se privent de virer des gens en CDI qui ont commis des fautes.

Les grosses entreprises n’ont pas peur des prud’hommes, elles sont prêtes à payer pour se séparer de vous.

Donc si vous pensez qu’il existe une sécurité de l’emploi en CDI, vous vous trompez.

C’est une illusion de sécurité.

Évidemment, il y a des lois qui régissent les contrats de travail, mais la plupart du temps on peut les détourner pour licencier quelqu’un qu’on n’a pas envie de garder.

Quoi que vous fassiez, le monde du travail comporte des risques et le CDI ne fait pas exception.

Raison n°4 : le salariat vous empêche d’aller bien

Le salariat crée énormément de maux.

Ils se fondent tellement dans le décor que l’on ne se rend même plus compte qu’ils sont entrainés par le salariat :

  • Stress chronique
  • Manque de sens
  • Déprime

On s’est tous déjà senti stressé par un patron trop exigeant

On a tous déjà ressenti le manque de motivation avant d’aller travailler, à cause de missions vides de sens…

On s’est tous déjà senti déprimé par ce mode de vie infernal…

Comme souvent, on traite le symptôme sans identifier la cause :

  • Quand on est stressé, on avale une petite pilule et c’est reparti pour un tour !
  • Quand on est déprimé, on se rend chez le psychologue 1x par semaine pour vider son sac…

Et si on réalisait que c’est ce mode de vie qui nous rend malheureux ?

Quand j’étais salarié, j’allais au travail tous les matins avec une boule au ventre.

Je me croyais naturellement stressé, mais le jour où j’ai quitté mon CDI, j’ai compris que c’était le salariat qui me rendait comme ça.

Depuis que j’ai décidé de quitter le salariat et que je travaille à mon compte ? Je me réveille en douceur tous les matins.

Je me sens heureux et épanoui, car je suis libre d’être où je veux quand je veux !

Certes, je gagne moins d’argent que lorsque j’étais en CDI, mais ma qualité de vie est 10x meilleure (et je ne l’échangerai pour tout l’or du monde).

Quand on est salarié, on est souvent juste un rouage de l’entreprise.

On remplit des missions routinières pour l’argent, parce qu’on n’a pas le choix…

Généralement, on manque de sens, car on travaille pour le projet d’un autre.

Pourtant, en tant qu’humains, nous avons besoin de créer.

Notre cerveau est fait pour imaginer et concevoir des solutions.

Nous sommes programmés pour créer de la valeur, briller et laisser une trace derrière nous.

Et ça, c’est le 5ᵉ besoin humain selon la pyramide de Maslow (besoin d’accomplissement) :

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Si on ne l’atteint pas ? On prend le risque de ne jamais se sentir totalement accompli (et de sentir un vide pour toujours).

« Quelle est ma mission dans ce monde ? », ce n’est probablement pas le métro-boulot-dodo.

Pour s’accomplir, il faut servir une cause qui nous tient à cœur.

Quitter le salariat et devenir son propre patron est pour moi la meilleure solution pour travailler et trouver du sens en même temps…

Car vous construirez quelque chose de concret, qui vous motivera et vous donnera envie de vous dépasser au quotidien !

Raison n°5 : le travail, c’était mieux avant

Le salariat généralisé, c’est historiquement récent.

Souvent, on pense que c’est la norme depuis toujours, mais en réalité, ça a moins de 200 ans.

Et ça remonte au moment où l’école est devenue obligatoire en France, en 1882.

À cette époque-là, en pleine industrialisation, on a commencé à ouvrir plein d’usines…

Rapidement, on a eu besoin de main d’œuvre éduquée pour recruter des ouvriers capables de travailler à la chaîne.

L’État a donc créé des écoles pour éduquer les enfants et pallier ce manque de main d’œuvre.

Avant ça ? Les gens travaillaient de chez eux, en famille, dans des fermes ou dans des magasins familiaux (demandez à vos grands-parents).

On produisait quelque chose de concret, on était au contact de la population, bref on avait une profession qui donnait du sens :

  • Les boulangers nourrissaient les habitants du village
  • Les artisans vendaient leurs créations
  • Le bucheron coupait du bois

Sortir de chez soi pour aller bosser pour quelqu’un d’autre est donc inédit à l’échelle de l’histoire de l’humanité.

Ce qui ne fait aucun sens, c’est le changement d’opinion sur l’entrepreneuriat.

On trouve ça tout à fait normal de développer l’entreprise de son patron, mais il est encore mal vu de créer sa propre entreprise.

L’éducation nationale a réussi son coup en diabolisant l’entreprenariat (être un patron, c’est être un méchant capitaliste) !

Elle nous a conditionné à penser que le salariat, c’était mieux.

Pour la plupart, nous avons pris cela pour argent comptant (c’est normal, nous sommes nés dedans).

Nos parents ont également baigné dans cet univers : dans les années 70, c’était l’âge d’or du salariat avec le plein emploi.

Mais aujourd’hui ? On se rend compte à quel point il est absurde d’offrir la majorité de notre temps à un patron ou de rêver du week-end dès lundi matin.

Surtout quand c’est pour remplir des tableaux Excel…

2 méthodes pour quitter le salariat définitivement

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, vous vous demandez sûrement « comment ».

Comment faire pour quitter son travail et retrouver ses 3 libertés (financière, géographique et temporelle) ?

Pour cela, il existe 2 solutions :

✅ Solution n°1 : créer un petit projet rentable

La première, c’est de créer un petit projet rentable.

C’est-à-dire un business minimaliste sur lequel vous allez bosser à court-terme, puis automatiser.

L’idée, créer de la valeur et monétiser vos passions et compétences.

Par exemple :

  • Créer des formations sur Internet
  • Écrire un livre
  • Lancer une boutique de t-shirt personnalisés

Une fois mis en place, chaque petit projet rentable vous rapportera un complément de revenu automatique.

Ce n’est pas forcément pour gagner beaucoup d’argent, mais pour gagner en autonomie financière, jusqu’à devenir autosuffisant.

Au début, vous pouvez cumuler cette activité avec un CDI (pour ne prendre aucun risque).

Le plus dur ? C’est encore de choisir parmi tous les petits projets rentables.

Pour vous aider à vous lancer, je vous offre le guide des « 24 moyens de générer des revenus passifs » :

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  • 👉 Des conseils réguliers pour atteindre la liberté financière et quitter le salariat.

✅ Solution n°2 : investir et faire travailler l’argent pour vous

Le deuxième conseil pour quitter le salariat est d’investir votre argent.

Parmi les investissements phares :

  • Immobilier : appartement, immeuble de rapport, maison à diviser en plusieurs lots (pour faire de la colocation)…
  • Bourse : indice boursier pour doubler, voire tripler votre investissement en quelques années

Tous les mois, vous gagnerez de l’argent grâce aux intérêts.

Si vous les retirez, vous pourrez en vivre comme si vous étiez payé par un patron.

Investir de l’argent, c’est le seul et unique moyen de gagner de l’argent de manière totalement passive.

Petit à petit, vos rentes vous libèreront du salariat !

👉 Le moment philosophique de la fin

Je finirais par vous dire que la vraie indépendance n’est pas forcément d’arrêter de travailler, ou de dire : « je ne fais plus rien de mes journées », les doigts de pied en éventail dans le salon…

Pour moi, l’indépendance, c’est travailler pour soi, ne plus se faire diriger par un patron, gérer son emploi du temps et son lieu de résidence librement.

C’est profiter de ses proches, de son couple, de ses passions en priorité.

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